Quels sont les impacts des catastrophes naturelles sur le tourisme?
Le tourisme est un secteur très sensible et qui est l’un des premiers sinon le premier à être touché de plein fouet lors des catastrophes naturelles. Et pourtant, celles-ci sont de plus en plus fréquentes ces derniers temps. Les habitants doivent alors se préparer et préparer leurs maisons. Par exemple en sécurisant les portes, fenêtres mais aussi en isolant leurs maison. Il est donc important de faire à des spécialistes. Vous pouvez ainsi contacter par exemple www.isolation-gironde.fr.
Le tsunami dévastateur en 2004, les séismes meurtriers et les terribles ouragans qui ont récemment frappé les îles Saint-Martin, Saint-Barthélemy, certaines côtes américaines, le Cuba, Nouvelle-Zélande et d’autres pays encore impactent gravement sur l’économie de plusieurs pays. Et la filière du tourisme est le premier à payer le prix fort, à part les malheureuses pertes en vies humaines bien fréquentes.
Les catastrophes naturelles: les bilans
Les catastrophes naturelles entraînent trop souvent leur lot de malheurs, de chagrins, de morts et de désolation. Des fléaux de ce genre ont toujours jalonné l’histoire de l’homme. Rien que durant les années 90, chaque année a vu la mort d’environ 80 000 personnes suite à des catastrophes naturelles. En 2010, les dégâts causés se chiffraient à 350 milliards de dollars. Et bien que le bilan ait été moins lourd l’année dernière, 2017 remportera probablement la palme du coût de catastrophes naturelles le plus élevé dans tous les domaines, social, humain, économique, touristique etc.
Catastrophes naturelles et tourisme
Les catastrophes naturelles ne profitent jamais au tourisme. Si le pays d’accueil est endommagé par un cyclone ou un typhon, il est clair qu’un grand nombre de réservations serait annulé, billets d’avion, de train, d’hôtels etc.
Et si des habitants de ce pays prévoyaient de partir en voyage, celui-ci serait de même annulé – ou reporté dans le meilleur des cas – pour cause de deuil, de perte de biens, de travail ou parce qu’elles doivent s’atteler à la reconstruction, à la réhabilitation ou à d’autres formes de remise en état de leurs vies, de leur environnement, de leur pays.